EXTRAITS DES CHAPITRES 4 & 5 DE L’OUVRAGE »ABANDONNER L’UNIVERSITE POUR ETRE RICHE »:
Chapitre Quatrième
« Steve Jobs était-il un copieur ou un génie?
On a beaucoup écrit sur Steve Jobs depuis son décès.
Il y a d’un côté ceux qui ont porté aux nues son génie, de l’autre ceux qui disent qu’il n’a rien inventé.
Il est vrai que le téléphone portable, le lecteur de MP3 et la tablette existaient avant Steve Jobs.
Mais ceux qui le critiquent et le traitent de copieur n’ont rien compris à la créativité.
La créativité n’est pas faire surgir de nulle part un concept nouveau, mais de COMBINER des éléments anciens pour créer du nouveau.
Mon père était inventeur. A la maison, lui seul avait de droit d’être créatif. Ma mère et moi le regardions donc comme un pur génie qui avait des idées venues de son inspiration.
Le résultat ? La créativité me semblait être un don réservé à certains, auquel je n’avais pas droit.
Puis, adolescent, je suis tombé sur des livres qui dévoilaient la source créative des idées de mon père. Et j’ai brusquement compris les associations d’idées, le processus créatif, l’incroyable capacité que nous avons tous de penser hors des sentiers battus en associant des idées venues d’univers différents.
Steve Jobs savait cela. Quand on lui a présenté le prototype de l’Ipad, il a demandé « Mais ne pourrait-on pas en faire une version réduite, qui tiendrait dans la poche et serait aussi un téléphone ? »
L’Iphone venait de naître, qui reculât la sortie de l’Ipad de quelques années mais a eu le succès que l’on sait.
Steve Jobs était un vrai génie créatif. Il combinait les idées de manière originale, s’affranchissait des idées reçues, traçait son propre chemin.
• Son exemple nous montre la voie. Il a exploré son monde intérieur en allant en Inde, puis en devenant pratiquant zen. De là son amour de la simplicité et de l’essentiel.
Sa connaissance des états supérieurs de la conscience, de la méditation, lui ont ouvert les portes d’une connaissance intuitive qui a changé le monde.
Steve Jobs n’était pas un saint, loin de là. Il se garait toujours sur les parkings réservés aux handicapés, a nié être le père de sa première fille, s’est souvent comporté comme un tyran… mais c’était un homme exceptionnel qui nous a montré combien savoir vendre est important, combien la simplicité peut être source de profit, à quel point harmoniser ses deux hémisphères cérébraux peut être important.
C’était un artiste, un passionné de musique et de photo, un esthète qui a créé du beau et a introduit la typographie dans le monde de l’informatique, mais aussi un cartésien qui a pensé juste, bâti des stratégies payantes, réussi matériellement au-delà de tout ce qui semblait possible.
Il n’a pas reconnu sa fille à sa naissance – mais a donné son nom à son premier ordinateur, le Lisa.
Il se parquait sur les parkings réservés aux handicapés, mais nous a permis, nous handicapés de l’informatique, d’accéder aux logiciels bien plus simplement et facilement, nous donnant ainsi le sentiment de la maîtrise.
Il était un tyran, mais a donné du travail à 40.000 personnes et a changé la vie de millions.
Contre vents et marées, il a tracé SA voie, et nous conseille de trouver et de suivre la nôtre.
« Vivons nos passions et ne laissons pas les autres enterrer nos rêves. »
Message que Steve Jobs a laissé pour vous amis lecteurs de ce bouquin
Le message que Steve Jobs a laissé pour vous sur la vie, la mort et les raisons de son succès.
C’est un honneur de me trouver parmi vous aujourd’hui et d’assister à une remise de diplômes dans une des universités les plus prestigieuses du monde.
Je n’ai jamais terminé mes études supérieures. A dire vrai, je n’ai même jamais été témoin d’une remise de diplômes dans une université.
Je veux vous faire partager aujourd’hui trois expériences qui ont marqué ma carrière. C’est tout. Rien d’extraordinaire. Juste 3 expériences.
Pourquoi j’ai eu raison de laisser tomber l’université ?
La première concerne les incidences imprévues. J’ai abandonné mes études au Reed Collège au bout de six mois, mais j’y suis resté auditeur libre pendant dix-huit mois avant de laisser tomber définitivement.
Pourquoi n’ai-je pas poursuivi ?
Tout a commencé avant ma naissance. Ma mère biologique était une jeune étudiante célibataire, et elle avait choisi de me confier à des parents adoptifs.
Elle tenait à me voir entrer dans une famille de diplômés universitaires, et tout avait été prévu pour que je sois adopté dès ma naissance par un avocat et son épouse. Sauf que, lorsque je fis mon apparition, ils décidèrent au dernier moment qu’ils préféraient avoir une fille. Mes parents, qui étaient sur une liste d’attente, reçurent un coup de téléphone au milieu de la nuit :
Nous avons un petit garçon qui n’était pas prévu. Le voulez-vous ?
Ils répondirent : Bien sûr.
Ma mère biologique découvrit alors que ma mère adoptive n’avait jamais eu le moindre diplôme universitaire, et que mon père n’avait jamais terminé ses études secondaires. Elle refusa de signer les documents définitifs d’adoption et ne s’y résolut que quelques mois plus tard, quand mes parents lui promirent que j’irais à l’université.
17 ans plus tard, j’entrais donc à l’université.
Mais j’avais naïvement choisi un établissement presque aussi cher que Stanford, et toutes les économies de mes parents servirent à payer mes frais de scolarité.
Au bout de 6 mois, je n’en voyais toujours pas la justification. Je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire dans la vie et je n’imaginais pas comment l’université pouvait m’aider à trouver ma voie. J’étais là en train de dépenser tout cet argent que mes parents avaient épargné leur vie durant.
Je décidai donc de laisser tomber.
Une décision plutôt risquée, mais rétrospectivement c’est un des meilleurs choix que j’aie jamais faits. Dès le moment où je renonçais, j’abandonnais les matières obligatoires qui m’ennuyaient pour suivre les cours qui m’intéressaient.
Tout n’était pas rose. Je n’avais pas de chambre dans un foyer, je dormais à même le sol chez des amis.
Je ramassais des bouteilles de Coca-Cola pour récupérer le dépôt de 5 cents et acheter de quoi manger, et tous les dimanches soir je faisais 10 kilomètres à pied pour traverser la ville et m’offrir un bon repas au temple de Hare Krishna. Un régal.
Et ce que je découvris alors, guidé par ma curiosité et mon intuition, se révéla inestimable à l’avenir.
Laissez-moi vous donner un exemple :
le Reed Collège dispensait probablement alors le meilleur enseignement de typographie de tout le pays. Dans le campus, chaque affiche, chaque étiquette sur chaque tiroir était parfaitement calligraphiée.
Parce que je n’avais pas à suivre de cours obligatoire, je décidai de m’inscrire en classe de calligraphie.
C’est ainsi que j’appris tout ce qui concernait l’empattement des caractères, les espaces entre les différents groupes de lettres, les détails qui font la beauté d’une typographie. C’était un art ancré dans le passé, une subtile esthétique qui échappait à la science.
J’étais fasciné.
Rien de tout cela n’était censé avoir le moindre effet pratique dans ma vie.
Pourtant, 10 ans plus tard, alors que nous concevions le premier Macintosh, cet acquis me revint. Et nous l’incorporâmes dans le Mac.
Ce fut le premier ordinateur doté d’une typographie élégante. Si je n’avais pas suivi ces cours à l’université, le Mac ne posséderait pas une telle variété de polices de caractères ni ces espacements proportionnels.
Et comme Windows s’est borné à copier le Mac, il est probable qu’aucun ordinateur personnel n’en disposerait.
Si je n’avais pas laissé tomber mes études à l’université, je n’aurais jamais appris la calligraphie, et les ordinateurs personnels n’auraient peut-être pas cette richesse de caractères. Naturellement, il était impossible de prévoir ces répercussions quand j’étais à l’université. Mais elles me sont apparues évidentes dix ans plus tard.
On ne peut prévoir l’incidence qu’auront certains évènements dans le futur ; c’est après coup seulement qu’apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu’ils joueront un rôle dans votre avenir. L’essentiel est de croire en quelque chose – votre destin, votre vie, votre karma, peu importe. Cette attitude a toujours marché pour moi, et elle a régi ma vie.
Pourquoi mon départ forcé d’Apple fut salutaire ?
Ma deuxième histoire concerne la passion et l’échec. J’ai eu la chance d’aimer très tôt ce que je faisais.
J’avais 20 ans lorsque Woz [Steve Wozniak, le co-fondateur d’Apple N.D.L.R.] et moi avons créé Apple dans le garage de mes parents. Nous avons ensuite travaillé dur et, 10 ans plus tard, Apple était une société de plus de 4 000 employés dont le chiffre d’affaires atteignait 2 milliards de dollars. Nous venions de lancer un an plus tôt notre plus belle création, le Macintosh, et je venais d’avoir 30 ans.
C’est alors que je fus viré.
Comment peut-on vous virer d’une société que vous avez créée ? C’est bien simple, Apple ayant pris de l’importance, nous avons engagé quelqu’un qui me semblait avoir les compétences nécessaires pour diriger l’entreprise à mes côtés et, pendant la première année, tout se passa bien.
Puis nos visions ont divergé, et nous nous sommes brouillés. Le conseil d’administration s’est rangé de son côté. C’est ainsi qu’à 30 ans je me suis retrouvé sur le pavé. Viré avec perte et fracas. La raison d’être de ma vie n’existait plus. J’étais en miettes.
Je restais plusieurs mois sans savoir quoi faire. J’avais l’impression d’avoir trahi la génération qui m’avait précédé
– d’avoir laissé tomber le témoin au moment où on me le passait. C’était un échec public, et je songeais même à fuir la Silicon Valley.
Puis j’ai peu à peu compris une chose:
– j’aimais toujours ce que je faisais.
Ce qui m’était arrivé chez Apple n’y changeait rien. J’avais été éconduit, mais j’étais toujours amoureux. J’ai alors décidé de repartir de zéro.
Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite, mais mon départ forcé d’Apple fut salutaire. Le poids du succès fit place à la légèreté du débutant, à une vision moins assurée des choses. Une liberté grâce à laquelle je connus l’une des périodes les plus créatives de ma vie.
Pendant les 5 années qui suivirent, j’ai créé une société appelée NeXT et une autre appelée Pixar, et je suis tombé amoureux d’une femme exceptionnelle qui est devenue mon épouse.
Pixar, qui allait bientôt produire le premier film d’animation en trois dimensions, Toy Story, est aujourd’hui la première entreprise mondiale utilisant cette technique. Par un remarquable concours de circonstances, Apple a acheté NeXT, je suis retourné chez Apple, et la technologie que nous avions développée chez NeXT est aujourd’hui la clé de la renaissance
d’Apple.
Et Laurene et moi avons fondé une famille merveilleuse.
Tout cela ne serait pas arrivé si je n’avais pas été viré d’Apple.
La potion fut horriblement amère, mais je suppose que le patient en avait besoin.
Parfois, la vie vous flanque un bon coup sur la tête. Ne vous laissez pas abattre. Je suis convaincu que c’est mon amour pour ce que je faisais qui m’a permis de continuer.
Il faut savoir découvrir ce que l’on aime et qui l’on aime. Le travail occupe une grande partie de l’existence, et la seule manière d’être pleinement satisfait est d’apprécier ce que l’on fait.
Sinon, continuez à chercher. Ne baissez pas les bras. C’est comme en amour, vous saurez quand vous aurez trouvé. Et toute relation réussie s’améliore avec le temps. Alors, continuez à chercher jusqu’à ce que vous trouviez.
Pourquoi la mort est la meilleure chose de la vie ?
Ma troisième histoire concerne la mort. A l’âge de 17 ans, j’ai lu une citation qui disait à peu près ceci :
« Si vous vivez chaque jour comme s’il était le dernier, vous finirez un jour par avoir raison. »
Elle m’est restée en mémoire et, depuis, pendant les 33 années écoulées, je me suis regardé dans la glace le matin en me disant :
« Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que j’aimerais faire ce que je vais faire tout à l’heure ? «
Et si la réponse est non pendant plusieurs jours à la file, je sais que j’ai besoin de changement.
Avoir en tête que je peux mourir bientôt est ce que j’ai découvert de plus efficace pour m’aider à prendre des décisions importantes. Parce que presque tout – tout ce que l’on attend de l’extérieur, nos vanités et nos fiertés, nos peurs de l’échec – s’efface devant la mort, ne laissant que l’essentiel.
Se souvenir que la mort viendra un jour est la meilleure façon d’éviter le piège qui consiste à croire que l’on a quelque chose à perdre. On est déjà nu. Il n’y a aucune raison de ne pas suivre son cœur.
Il y a un an environ, on découvrait que j’avais un cancer. A 7 heures du matin, le scanner montrait que j’étais atteint d’une tumeur au pancréas. Je ne savais même pas ce qu’était le pancréas.
Les médecins m’annoncèrent que c’était un cancer probablement incurable, et que j’en avais au maximum pour six mois. Mon docteur me conseilla de rentrer chez moi et de mettre mes affaires en ordre, ce qui signifie :
« Préparez-vous à mourir. »
Ce qui signifie dire à ses enfants en quelques mois tout ce que vous pensiez leur dire pendant les 10 prochaines années. Ce qui signifie essayer de faciliter les choses pour votre famille.
En bref, faire vos adieux.
J’ai vécu avec ce diagnostic pendant toute la journée. Plus tard dans la soirée, on m’a fait une biopsie, introduit un endoscope dans le pancréas en passant par l’estomac et l’intestin.
J’étais inconscient, mais ma femme, qui était présente, m’a raconté qu’en examinant le prélèvement au microscope, les médecins se sont mis à pleurer, car j’avais une forme très rare de cancer du pancréas, guérissable par la chirurgie.
On m’a opéré et je vais bien.
Ce fut mon seul contact avec la mort, et j’espère qu’il le restera pendant encore quelques dizaines d’années.
Après cette expérience, je peux vous le dire avec plus de certitude que lorsque la mort n’était pour moi qu’un concept purement intellectuel : personne ne désire mourir.
Même ceux qui veulent aller au ciel n’ont pas envie de mourir pour y parvenir. Pourtant, la mort est un destin que nous partageons tous. Personne n’y a jamais échappé. Et c’est bien ainsi, car la mort est probablement ce que la vie a inventé de mieux.
C’est le facteur de changement de la vie. Elle nous débarrasse de l’ancien pour faire place au neuf. En ce moment, vous représentez ce qui est neuf, mais un jour vous deviendrez progressivement l’ancien, et vous laisserez la place aux autres. Désolé d’être aussi dramatique, mais c’est la vérité.
Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre.
Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d’autrui. Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure.
Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. L’un et l’autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire.
Dans ma jeunesse, il existait une extraordinaire publication The Whole Earth Catalog, l’une des bibles de ma génération.
Elle avait été fondée par un certain Stewart Brand, non loin d’ici, à Menlo Park, et il l’avait marquée de sa veine poétique. C’était à la fin des années 1960, avant les ordinateurs et l’édition électronique, et elle était réalisée entièrement avec des machines à écrire, des paires de ciseaux et des appareils Polaroid.
C’était une sorte de Google en livre de poche, 35 ans avant la création de Google. Un ouvrage idéaliste, débordant de recettes formidables et d’idées épatantes.
Stewart et son équipe ont publié plusieurs fascicules de The Whole Earth Catalog. Quand ils eurent épuisé la formule, ils sortirent un dernier numéro.
C’était au milieu des années 1970, et j’avais votre âge.
La quatrième de couverture montrait la photo d’une route de campagne prise au petit matin, le genre de route sur laquelle vous pourriez faire de l’auto-stop si vous avez l’esprit d’aventure.
Dessous, on lisait :
« Soyez insatiables. Soyez fous. »
C’était leur message d’adieu. Soyez insatiables. Soyez fous.
C’est le vœu que j’ai toujours formé pour moi. Et aujourd’hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d’une nouvelle vie, c’est ce que je vous souhaite.
Soyez insatiables. Soyez fous.
Merci à tous. !
Steve Jobs 1955-2011
Merci Steve! Que c’est fascinant l’histoire. On en a bien appris !!!
Chapitre Cinquième :
Revenons maintenant á nos moutons de la richesse et du succès.
Un fameux et émouvant adage du Texas des USA s’énonce ainsi : «Tout le monde veut aller au ciel mais personne ne veut mourir. » La plupart des gens rêvent d’être riches mais ils sont terrifiés à l’idée de perdre de l’argent. Par conséquent, ils ne se rendent jamais au ciel. Ils ont une peur bleue de prendre des risques, c’est-á-dire d’investir dans leurs colonnes d’actifs pour générer de l’argent.
Sur le plan financier, chaque dollar qui passe dans nos mains nous accorde le pouvoir de choisir notre avenir tout dépend de la façon dont on le dépense: être riche, pauvre ou dans la classe moyenne. Nos habitudes de dépenses reflètent qui nous sommes vraiment, riche ou pauvre. Les gens pauvres ont simplement de pitoyables habitudes de dépenses. Ils dépensent, ils dépensent encore comme des fous financiers, et bientôt leurs pitoyables déboires et ancrages financiers
Un principe universel guide l’univers ou la nature tout entière : « Si tu veux quelque chose, tu dois d’abord donner ». D’où la maxime de la richesse et de la réussite est: « Donner avant pour recevoir ». Devenir généreux envers les autres moins fortunés.
Apprendre á donner de l’argent si vous voulez en recevoir d’avantage. Chaque fois que vous vous sentirez « à court » ou « dans le besoin » de quelque chose, donner d’abord ce que vous voudriez et cela vous reviendra au centuple. Cela est aussi vrai pour l’argent, l’amour, l’amitié et un sourire.
Ainsi, dans cette optique, le fameux principe de la réciprocité est vrai, et vous devez donner donc ce que vous voudriez recevoir. Vous voulez de l’argent, vous donnez donc de l’argent, et cela vous revient décuplé. Vous voulez conclure des ventes, aidez donc quelqu’un d’autre à vendre quelque chose, et les ventes viennent à vous. Vous voulez avoir des Relations, aidez quelqu’un d’autre à entrer en relation avec des gens, et comme par magie, les relations viennent vers vous. Il y a un vieil adage qui dit :
« Dieu n’a pas besoin de recevoir mais les êtres humains ont besoin de donner. »
Quand il est question d’argent, d’amour, de bonheur, de ventes et de relations, tout ce dont vous avez besoin de vous rappeler est de donner d’abord ce que vous voudriez obtenir, et cela vous sera redonné en abondance et même surabondance.
Bien assez couramment, le seul fait de réfléchir et à ce qu’on voudrait et d’imaginer ensuite comment on pourrait le donner à quelqu’un d’autre dégagent en soi une vague de clémence. Chaque fois qu’on a l’intention que des gens nous sourient, nous nous mettons simplement à sourire et à dire bonjour, et comme de suite par une espèce de magie, il y a soudainement de plus en plus de gens souriants autour de nous. Il est évidemment vrai que notre monde n’est qu’un miroir de nous-mêmes.
Si vous êtes á l’université, vous voyez qu’il y a une perte de temps et que vous êtes bourrés d’idées, de talents et que vous êtes créatifs et productifs, ne perdez pas votre temps de vous lancer dans… »<……> »
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Yrvin Lauriston

Je suis membre de l'association CJPCP ainsi qu'auteur de nombreux livres disponibles sur www.Thebookedition .- Visitez mes sites blogues : ylauriston2.blogspot.com / sdpi-zooming.blogspot.com

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